Mettre en place une routine du soir axée sur le soin de soi, la pleine conscience et le toucher conscient est devenu un moment précieux pour moi. Chaque soir ne se ressemble pas, mais il y a un geste que je retrouve toujours avec la même joie : celui d’allumer une bougie.
La lumière douce et vacillante me permet de poser une intention. Elle marque le début d’un espace pour moi. Mais avant même qu’elle ne fonde, je prends un moment pour m’écouter. Mon rituel dépend toujours de mon besoin du jour.
Quand je ressens le besoin de me recentrer, de ralentir et de me réconforter, j’opte pour un rituel nourrissant. Je commence alors par quelques gestes de brossage à sec avec ma brosse en fibres de cuivre. C’est un geste que j’adore : il relance la circulation tout en m’ancrant dans mon corps. J’allume ensuite la bougie Nourrissante & Réparatrice, et pendant qu’elle fond doucement, je prends une douche chaude, parfois accompagnée d’une méditation ou d’affirmations autour d’un sujet qui me tient à cœur. Puis j’applique l'huile tiède sur ma peau, en massant lentement, avec présence, comme un soin enveloppant du corps et de l’esprit.
D’autres soirs, quand je ressens le besoin de relancer mon énergie, de me tonifier ou simplement de me dynamiser après une journée plus statique, je choisis un rituel plus stimulant. J’allume la bougie Tonifiante & Stimulante et je profite de sa senteur fraîche pour créer une ambiance revigorante. Après ma douche, je prélève l'huile et je l’applique à l’aide de mon gua sha corps, en effectuant des gestes plus toniques, le long des jambes, des bras ou du ventre. Cela me redonne de l’élan, tout en gardant cette dimension de soin profond.
Ce rituel, je ne le vis pas comme une routine rigide, mais comme un espace vivant, adaptable, selon mon énergie et mes besoins du moment. Ce qui compte, c’est cette intention : prendre soin de moi, avec douceur et présence. Mes bougies sont devenues des alliées précieuses pour créer cette parenthèse bienfaisante, chaque soir, un peu différente, toujours essentielle.
